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LE PARADIS DES SERPENTS

 

 

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      ( suite de la page 2)                                                                  LA DELIVRANCE

Tous les habitants du plus petit au plus grand se moquaient de lui,
ils le regardaient s'acharner à réparer son voilier.

François quand à lui, donnait l'impression d'avoir perdu la raison.
Les jours passaient , rien n'avait vraiment changé. Puis un jour il tomba malade,
il était fiévreux, l'estomac dans les" talons "

il ne pouvait rien avaler, il pensait à une imprudence.
Mais en fait c'était le stress ,qui l'avait mit dans cet état.

Tous les soirs, il faisait le même rêve, il s'enfuyait sur son bateau,
mais il était poursuivi par des monstres, c'était horrible.

Ce soir là, il se réveilla en pleine nuit,
il sortit pour respirer un peu d'air frais, et c'est là , en regardant autour de lui, il eut

une étrange impression, il régnait un silence de mort.
Son coeur se mit à battre la chamade,il s'approcha des habitationsil n'y avait personne , pas d'âme qui vive.
François pensait qu'on l'avait sûrement abandonner sur l'île, mais cela n'avait aucun sens ,
où sont ils passés?

Il parcouru toute l'île, mais ne vit personne, "Demain pensa -t -il j'aurai une explication à tous cela et il
Déambula  sur la plage
 Mais voilà qu'au petit matin, surgissant de nulle part, ils réapparaissaient.
François sursauta en les voyant venir jusqu'à lui.

 -Je vous ai cherché partout cette nuit, sans succès, ou étiez vous ?  comment est- ce possible demanda -t-il ?
 Ils se regardèrent l'un l'autre, l'air de dire, a-t-il découvert notre secret ?  Mais le chef s'approcha , et lui dit sur un ton sèche :
 -Le soir nous sommes  très occupés, tu sauras d'ici peu de quoi s'agit-il .
 puis toute l'assemblée se dispersa , le laissant sur ses interrogations .Il ressentit comme une menace dans ces propos.
 François, pour reprendre des forces, mangea des fruits, bu de l'eau de coco,pêcha quelques poissons dans le lagon qu'il
 prépara lui même, lorsqu'ils lui apportèrent le dîner, sans savoir pourquoi, il fit semblant de manger,puis de s'endormir.

Mais  cette nuit, c'est décidé ,je saurais tout pensa-t-il.
 Sans faire de bruit,  il se réveilla, François les suivis dans la pénombre.
 Ils se dirigèrent vers une entrée secrète de la grotte , et là François vit toute la scène.
 En état de choc, il fit du bruit,  et  fut repérer rapidement.
 Ils le capturèrent, l'obligèrent à boire le venin du grand serpent immortelle. Mais  à leur grande surprise,
 celui-ci n'eut aucun effet sur lui, profitant de leur trouble il s'échappa, courut en direction de la plage.
 -Nous devons l'attraper hurla le chef, tuez le !
 François détacha  "Cassandre des lagunes" le tira  de toute ses forces dans l'eau, manoeuvra, pour avancer au plus vite,mais ses poursuivants 
se rapprochèrent  très vite. Il  saisit un bout de bois, et se mit  à frapper dans tous les sens.

Les  monstres surgissaient de partout , la gueule grande ouverte,  lui infligeant des morsures, le combat fut térrible,  mais le voilier réussit à s'éloigner.
François tremblait  de peur, il n'avait jamais vu cela.Mais un autre danger le guettait.
" Cassandre des lagunes" prenait de la vitesse, la lune éclairait son chemin , mais voilà qu'a mi-parcours, il se retrouva, face à
 un immense  tourbillon  d'eau qui  l'atirait  fortement , ne pouvant changer de direction,il se laissa deriver,  " c'est vraiment la fin"
 sur ce , François poussa un cri  de désespoir,ferma les yeux,  se recroquevilla pour mourir.
 Puis au bout  de quelques minutes , se sentant hors de danger il les  rouvrit,  en fait il venait  de traverser un  mystérieux passage. Son voilier et lui se trouvaient maintenant  en des eaux calmes, qu'il reconnu tout de suite ,la mer caraïbe!
 C' était exactement le lieu de sa disparition .
 Les gardes- côtes aperçurent quelque chose au loin, se rapprochèrent. François était là , allongé, frissonnant, encore
 incapable de prononcer un mot.
 -Patrouille 27 , Nous avons retrouvé un voilier à la dérive, il y a un passager à bord, nous allons inspecter, et rapatrié l'homme.
 -Ok  fit la base message bien reçu .
 -Nous allons vous soignés, quel est votre nom ? Que vous est-il arrivé ?
 -Regardez, s'écria l'un d'entre eux, c'est quoi cette matière, il y en  à partout, on dirait la chair d'animal,
 - Il devait certainement pêcher la baleine  celui là!
 -Le bateau est rafistoler de partout, qu'est ce qu'il devait bien fabriquer ici ?
 François est héliporté immédiatement, son bateau sera amarré par la suite.
 A l'hôpital, il revint à lui,  mais tenait des propos incohérents, il parlait d'île inconnue,de "Demmroot "de serpents, personne ne comprenait.
 Ils réussirent à l'identifier, comme le marin porté disparu, il y a quatre mois.
  Sa famille fut prévenu, ceux-ci vinrent le chercher, il les reconnus tout de suite,

  leurs retrouvailles furent émouvantes, et touchantes.
 François, ne sait par où commencer, vont ils le croire, ou penser que leur fils est devenu fou.
  admettrez -vous une telle histoire ? 
 Pour l'instant, François doit vaincre sa peur, mais depuis cette mésaventure, il est devenu méfiant, il se pose des questions.
 il veut reprendre la navigation,car c'est sa passion, mais il à compris une chose :  que l'on  à jamais vraiment tout acquis,
 la nature garde encore des secrets.Serons  nous prêt à les découvrir ? Pour l'heure Francois se remet petit à petit de cette mésavntures.
                                   FIN

           PATRICIA DRAGIN

 

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Commentaires

  • la t'ite dame de l'aéroport !!
    • 1. la t'ite dame de l'aéroport !! Le 28/08/2011
    Hello Patricia !

    Chose promise, chose due, voilà quelques nouvelles depuis la petite escapade en bus à Pointe à Pitre: suis bien arrivée à l'aéroport en longeant la nationale et j'ai pris en chemin quelques belles couleurs en marchant sous le soleil de Guadeloupe ! Bon, avec un bagage léger, ça se fait à pied sans trop de soucis,
    encore merci à toi pour ta gentillesse et tes explications ! c'est un vrai plaisir de t'avoir rencontrer;
    je viens de lire en passant "le paradis des serpents", c'est très sympas ! Longue vie donc à ton blog et au plaisir de te lire à nouveau,

    Elodie

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